mercredi 20 avril 2022

Festival Colors Paris au 13 bd Jules Ferry en avril 2022

Imaginé par l’artiste Combo, le Colors Festival revient à Paris pour une deuxième édition. 67 artistes, français et internationaux, se partagent l’affiche.

Nouvelle édition, nouveau lieu, nouvelle scénographie :

Il s'agit de rendre la culture accessible à tous et de faire découvrir l'univers de ces artistes, à travers des installations XXL.

Le lieu choisi pour accueillir le festival est un immeuble chargé d'histoire qui a servi, au début du siècle dernier, d'anciennes écuries pour le halage des péniches sur la Seine, d'espace de fabrication de structures métalliques au moment de la création de la tour Eiffel et du grand Paris d'Haussmann, puis d'entreprise d'emballage de produits de luxe. 

Cet espace continue de vivre  grâce au Colors Festival et des artistes venus des quatre coins du monde (France, Angleterre, Flats Unis. Mexique, Pay, Bas, Belgique el Maroc).

Les artistes ont carte blanche pour travailler sous l'unique contrainte d'une couleur commune le bleu Majorelle, avec une touche de rouge bubble gum.

Voici mon reportage photo purement subjectif de ce lieu intéressant :

















































15 Juin 2009, Banlieue de Kabul.
Afghanistan.
Une compagnie de soldats Afghans marchent derrière les instructeurs de la force internationale d'assistance à la sécurité pendant une formation aux armes légères.










Paul Second @toits_de_paris





Kares Le Roy a passé ces dix dernières années à voyager en Asie. A pied, à cheval, à moto, à l'arrière d'un bus ou dans son véhicule, il a sillonné les lieux les plus isolés, photographié les peuples parmi les plus méconnus d'Orient. Il passe désormais plus de temps en Perse et en Asie centrale que dans son pays natal. Cette région est devenue son territoire de prédilection. A 38 ans, il a déjà à son actif des projets conséquents trois livres, un film court et deux documentaires. Et, bien que des collaborations avec Médecins Sans Frontières, L'Obs ou le National Geographic lui aient apporté une certaine reconnaissance, c'est surtout le portrait d'une grand-mère, icône rayonnante de la couverture de son premier ouvrage 56 000 kilamètres, qui a marqué les esprits dès sa parution en 2011.

En mai 2014, il s'engage à corps perdu dans un long voyage qu'il entreprend depuis Paris à bord de son van aménagé. Il faudra seize mois d'expédition et une volonté inébranlable pour que ce projet donne naissance à un deuxième livre: Ashayer-nomades en persan - dans lequel Kares raconte son immer sion dans le monde tribal. Entre l'Iran et l'Afghanistan, le photographe, nomade à sa manière, s'est en effet mêlé aux différents groupes ethniques survivants dans ces régions en s'imprégnant totalement de leur mode de vie. Ce livre, sorti début 2016, se veut un tableau mémoriel d'une culture qui tend à se dissoudre dans le monde globalisé du XXe siècle.

Après un travail quasi obsessionnel de plusieurs années sur l'iran, Kares vient de dévoiler son recueil de 200 photographies consacré à cet ancien empire souvent placé par les médias à la une de l'actualité géopolitique. Loin de toutes ces problématiques, il a imaginé ce livre plutôt comme un voyage dans un pays aux mille visages, un véritable hommage à l'Iran et à son peuple. Il témoigne avec sensibilité de ce que l'Humanité a pu faire de plus beau, de plus noble et de plus ingénieux à la fois. Entre poésie et my thologie, le photographe Kares Le Roy dresse dans Iran Immortel (Elytis éditions) une série de portraits, de scènes de vie et de paysages qu'il est parti réaliser durant dix années jusqu'aux confins de ce vaste pays. Une manière de rappeler que l'ancienne Perse a su traverser les époques sans perdre de son éclat.





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